Vous rêvez de devenir coach en Suisse, mais vous ne savez pas par où commencer. Coach de vie, business coach, coach parental, en nutrition, en communication ou en leadership : quelle que soit votre spécialisation, le défi entrepreneurial reste le même. Peu importe votre certification, si le doute s’immisce, il engendre perte d’énergie et d’estime de soi. Les opportunités filent, le business ne décolle pas. Dans mon quotidien de coach mentor romand, je vois 5 erreurs récurrentes. Mes coachés ambitieux, passionnés sont souvent paralysés par de fausses croyances. Elles coûtent du temps, de l’argent, et surtout, de l’élan. Ensemble, nous les déconstruisons une à une. Mon objectif : faire décoller votre activité, pas dans trois ans, maintenant. Et cela commence ici.
erreur 1-chercher la perfection et oublier son coaching
Le quotidien d’un coach perfectionniste
Beaucoup de coachs en devenir passent des mois à se former, à comparer les écoles de coaching, à chercher la meilleure certification professionnelle. Sans jamais proposer une seule séance d’accompagnement. Ils attendent d’être « prêts ». Mais dans le métier de coach certifié, la légitimité vient avec l’action. Rester trop longtemps en mode préparation, c’est épuiser ses ressources (argent, énergie) sans jamais décoller. Un coach perfectionniste enchaîne les formations en coaching professionnel, PNL ou hypnose, sans tester son offre. Il connaît la déontologie et les techniques mais ne publie rien, n’échange avec personne. Résultat : aucune clientèle ni revenu et une confiance qui s’effrite.🚀 Si votre business était un avion, seriez-vous en train de décoller ou d’attendre sur la piste en analysant une météo idéale ?
🚀 Je vous aide à éliminer le syndrome de l’imposteur.
La solution pour progresser et exercer comme coach en même temps
En Suisse, un coach peut débuter son activité de coach business, coach en nutrition, coach d’équipe, coach en leadership, sans obligation de diplôme ou d’autorisation. L’important est de viser une transformation précise et se lancer avec une version testable. Cela suppose de :- clarifier son positionnement (coach en quoi et pour qui ?) ;
- fixer des objectifs progressifs ;
- passer à l’action ;
- adopter une mentalité d’apprentissage ;
- d’accepter ses vulnérabilités.
Je gagne du temps, je m’inscris au prochain webinaire gratuit
Erreur 2 - Se brader et perdre sa légitimité de sparring-partner
❌ Se brader par manque de confiance
Le quotidien d’un coach qui doute de sa légitimité
Beaucoup de coachs débutants sous-estiment leur vraie valeur. Ils proposent leurs séances à prix cassé, offrent leur temps sans limites. D’autres hésitent à parler de leur programme, par peur de déranger. Derrière cette attitude, se cache un problème de mindset, une croyance : je manque d’expérience, je dois faire mes preuves pour mériter. Ce manque de reconnaissance personnelle alimente la frustration. Vous attirez des clients peu engagés, qui ne perçoivent pas la valeur du coaching. Normal, vous ne la défendez pas.
En Romandie, les indépendants doivent assumer leur valeur pour durer. Le statut de coach professionnel n’est pas réglementé, mais les clients attendent des résultats concrets et une posture claire. Le prix devient alors un signal de sérieux. Se brader, c’est souvent rassurant à court terme, mais dangereux à long terme. Cela brouille la perception de votre expertise et affaiblit votre image auprès de votre cible.
🚀 Si vous vous répétez : j’en ai marre d’être un expert fauché. J’en ai marre de ne pas gagner ce que je mérite, de ne pas être reconnu à ma juste valeur. Alors, vous sous-estimez votre valeur réelle.
🚀 Je vous aide à bien vendre votre offre et à traiter les objections clients.
La solution pour incarner sa valeur de coach
Posez un regard honnête sur votre parcours : quelles expériences, quelles compétences, quelle transformation vos clients vivent-ils à vos côtés ?
- Basez votre positionnement sur des résultats concrets (coachs nutritionnistes et nutrithérapeutes, montrez la perte de poids et le mode de vie aligné ; coachs sportifs, les médailles de vos coachés) ;
- Fixez des tarifs cohérents et assumés avec conviction.
Erreur 3 - S’isoler et transformer son business en prison mentale
Le quotidien d’un coach bloqué dans sa tête
Beaucoup de coachs fuient la prospection par peur d’être intrusifs. Ils pensent que les clients sont déjà sur sollicités. Ils craignent de déranger, de manquer d’originalité dans leurs prestations. Petit à petit, l’isolement grignote la motivation. Et ce qui devait être une activité d’accompagnement devient une entreprise solitaire. En Suisse romande, travailler seul sans réseau freine la croissance. Le bouche-à-oreille reste un levier naturel, cœur du développement des métiers indépendants. S’en priver génère du doute, de la fatigue, du découragement. 🚀 Vous travaillez trop d’heures, vous êtes inquiet. Ne restez pas seul. Faites comme les athlètes. Prenez un coach mindset pour réaliser votre rêve.Je contacte Yves-Alain, business coach en Romandie maintenant
Les solutions pour retrouver de l’élan dans votre accompagnement
Sortir de l’isolement passe par des actions simples :- rejoignez un groupe de pairs, en ligne ou présentiel ;
- parlez de votre activité chaque semaine, même à une seule personne ;
- entourez-vous de partenaires ou de sparring-partners ( si vous n’avez pas encore le budget pour déléguer, pensez à l’échange de services).
Erreur 4 - Vouloir plaire à tout le monde et devenir invisible
Le quotidien d’un coach caméléon
Certains coachs veulent toucher le plus grand nombre. Ils gardent une offre large, parlent de tout, s’adressent à la masse. Par peur de rater des opportunités clients, ils oublient de cibler juste (persona, domaine d’activité). Résultat : leur message devient flou. Personne ne se sent directement concerné. La communication reste vague, les publications généralistes, les appels à l’action mous. En Suisse romande, cette stratégie est contre-productive. Le marché valorise la spécialisation, l’expertise, la clarté. Les clients investissent dans un accompagnement qui résout un problème précis. Vouloir plaire à tout le monde, c’est souvent ne convaincre personne. Cela alimente un sentiment d’illégitimité. 🚀 Si je ne suis pas choisi, c’est que je ne suis pas assez. Détachez-vous de ce que vous vendez. On ne vous achète pas vous, mais votre programme. 🚀 Avec le bon mindset, vous passez à l’action sans stress et vous saisissez les opportunités qui se présentent. 🚀 Je vous aide à cibler vos clients idéaux à travers le sondage en profondeur ou les entretiens exploratoires.Les solutions pour marquer les esprits dans le monde du coaching
Choisissez une cible prioritaire (même temporaire) :- construisez une offre orientée résultats clairs ;
- un coach de vie parle de réduction de stress, de gain de temps, de routine efficace, de confort de vie, de gestion des émotions ;
- un coach en communication travaille la prise de parole ;
- un coach en leadership développe la cohésion d’équipe et l’impact managérial ;
- un coach financier montre les investissements rentables, les économies engagées et les dépenses agréables générées ;
- un coach parental présente les bénéfices des principes d’éducation ;
- un business coach raconte comment les entrepreneurs trouvent des clients et signent de nouveaux devis ;
- etc.
- parlez à vos clients avec leurs propres mots ;
- rappelez-vous qu’un positionnement tranché attire mieux qu’un discours tiède
Erreur 5 - Procrastiner et laisser son projet de coaching stagner
❌ Repousser le passage à l’action en se racontant des histoires.
Le quotidien d’un coach qui tourne en rond
Vous avez une idée d’offre. Chaque jour, vous vous promettez de publier, de relancer, de prospecter. Et chaque jour, vous trouvez une bonne raison de remettre au lendemain. Vous doutez de votre cible, vous rectifiez votre tunnel de vente. En réalité, vous vous cachez derrière des excuses. C’est la peur qui vous freine.
En Suisse, dans le bassin lémanique, à Genève, un coach doit s’autodiscipliner. Les mentors qui réussissent avancent chaque jour, même dans l’imperfection. Le pays valorise la constance, la rigueur, la crédibilité.
🚀 Un marché trop saturé, l’algorithme des réseaux qui change, la déprime de la météo : est-ce valable pour ne pas se lancer ?
Les solutions pour reprendre le contrôle de votre activité de coach
Revenez aux fondamentaux de l’entrepreneuriat :
- fixez-vous un objectif simple et atteignable chaque semaine ;
- ritualisez les tâches : publication, démarchage, rendez-vous de prospection ;
- acceptez d’agir avec le trac, sans attendre la confiance ;
- remplacez le mental par le mouvement, l’analyse par la mise en œuvre ;
- trouvez votre pourquoi : ce qui vous a convaincu de vous lancer, qui vous pousse à agir, même quand c’est inconfortable.
Devenir coach en Suisse: la méthode MPV de Yves-Alain Portmann
❌ Erreur n°6 : Chercher une méthode miracle au lieu de structurer sa démarche entrepreneuriale.
Quelle que soit la spécialisation, devenir coach ne s’improvise pas. Pour en vivre, il faut un process simple, organisé et testé sur le terrain. C’est le but de MPV : Mindset, Positionnement, Vente.
La méthode MPV intègre les 8 règles d’or d’un business solide :
🥇 un client idéal précis ;
🥇 une offre claire et irrésistible ;
🥇 une visibilité stratégique ;
🥇 un apport de valeur avant même de vendre ;
🥇 une prospection active ;
🥇 un système de leads ;
🥇 des relations authentiques ;
🥇 la cohérence et la persévérance.
La méthode MPV permet de se structurer rapidement, d’attirer les bons clients et de convertir sans forcer. Elle repose sur un accompagnement humain, une stratégie claire et un passage à l’action immédiat. Pas de miracle. Juste un plan concret pour décoller.
Et cela commence par une mini-formation coaching gratuite. Ici !
Nos sources : Confédération Suisse